Un an après l'enlèvement et l'assassinat du journaliste Martinez Zogo, la « voix des sans-voix » du Cameroun, la justice semble paralysée. Alors que l'instruction avait très rapidement pointé du doigt des figures du régime Biya et l'homme d'affaires Jean-Pierre Amougou Belinga, elle est aujourd'hui au point mort.
Espoir (Afrique XXI)
29 mars 2024