Emploi, pétrole, infrastructures… Sur quels dossiers clés, le futur gouvernement devra-t-il se pencher une fois que la crise politique autour de l’élection présidentielle sera dénouée ?
Bien que les ex-pays sanctionnés retrouvent l’accès aux échanges commerciaux et à leurs réserves logées au sein de la Banque centrale, les scénarios quant à l’avenir des relations entre l’AES, d’une part, et la Cedeao, d’autre part, ne sont pas pour le moment unifiés.
Enveloppe du FMI, accord avec l’Union européenne, sortie sur les marchés de la dette… Ces derniers mois, le gouvernement ivoirien multiplie les initiatives pour lever les fonds utiles à son adaptation au changement climatique.
Le Burkina Faso est passé devant l’île Maurice comme premier investisseur direct étranger en Côte d’Ivoire en 2023.
La Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest a décidé de lever les sanctions qui frappaient le Niger, le Mali et la Guinée, tous trois dirigés par des régimes militaires.
Endettement, pauvreté, inflation… Pour surmonter une crise durablement installée, le chef de l’État nigérien, élu en mars 2023, s’est entouré des meilleurs économistes, financiers et banquiers.
En janvier, la Banque africaine de développement a lancé et exécuté avec succès une opération de 750 millions de dollars d’obligations hybrides subordonnées perpétuelles. Une opération phare et inédite. Mais de quoi s’agit-il concrètement ?
« C’est comme si l’Union européenne nous faisait la guerre par procuration » : le président de la RDC, Félix Tshisekedi, a vivement critiqué jeudi le protocole d’accord signé cette semaine entre l’Union européenne et le Rwanda.
La dévaluation massive du naira provoquée par la réforme des changes a dévasté les ménages, les usines et les caisses de l’État.
Les entrepreneurs du Sahel comme ceux de la Côte d’Ivoire s’inquiètent du devenir de la libre circulation après l’annonce de la sortie du Burkina Faso, du Mali et du Niger de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest.
Placé sous le haut patronage du Rwanda, les 30 Young Leaders – majoritairement africains – sélectionnés par la French-African Foundation sont conviés à Kigali, fin février, pour échanger autour des nouveaux partenariats économiques à mettre en place entre l’Afrique et la France.
Malgré un contexte régional et une conjoncture internationale difficiles, le Togo affiche une croissance solide, boostée par une demande intérieure et des investissements publics et privés soutenus. Ses prévisions économiques à cinq ans apparaissent tout aussi prometteuses.
Situation des PME, représentativité de la CGEM, nouveau modèle de développement, politique des grands chantiers… L’économiste et homme d’affaires marocain répond sans langue de bois aux questions de Jeune Afrique.
Tandis que les trois pays de l’Alliance des États du Sahel songent à mettre en place une monnaie commune, l’annonce de l’abandon du franc CFA soulève la question de rompre, ou non, avec l’Union économique et monétaire ouest-africaine.