« Traditionnellement, pour financer le développement, il nous fallait recourir aux prêts ou aux dons, mais depuis quelques années, les dons se sont réduits comme peau de chagrin. De plus, avec des taux d'intérêt compris entre 7 % et 12 % pour les économies émergentes, la capacité à lever des fonds s'est complexifiée », explique Alain Tchibozo, économiste en chef de la Banque ouest-africaine de développement (BOAD).
